L’énergie et le mental à toute épreuve d’Alexandre Bodart-Pinto sont connus dans son proche entourage. Depuis la sortie remarquée de son livre, « Ma vie à 200 à l’heure », la médiatisation d’Alexandre a permis de le faire découvrir au plus grand nombre et c’est tant mieux, au vu de la véritable leçon de vie et d’espoir contenue dans son œuvre.
Alexandre, vous le savez, chers lecteurs, est également organisateur d’évènements très VIP. Le prochain Festival de Cannes n’échappera pas à sa soirée annuelle, pour le plus grand plaisir de ses invités et des artistes présents. Nous vous proposons une nouvelle interview « bilan » d’Alexandre Bodart-Pinto, dans laquelle il fait le point sur son association, « Wheeling Around The World », la soirée cannoise de l’année dernière, mais aussi et surtout sur celle du 20 mai 2016, à l’hôtel Majestic de Cannes.
Bonjour Alexandre Bodart-Pinto, quel bilan tires-tu de ton impressionnante soirée lors du dernier Festival de Cannes ?
Hello Laurent, le bilan est plus que positif. En effet, l’évènement fut un grand succès et j’en suis vraiment très heureux.
À titre financier tout d’abord, nous avons fait une belle vente aux enchères, et cela nous a permis d’avancer dans la réalisation de nos projets et de nouer des contacts très intéressants qui ont abouti à de nouveaux partenariats, avec de nouvelles missions et de nouveaux objectifs. En somme, que du bonheur !
Depuis notre dernier entretien, comment s’est déroulée l’année pour ta fondation « Wheeling Around the World » ?
Je précise que la fondation n’est pas ma seule activité, même si j’essaie d’y passer le plus de temps possible. Les projets ont bien avancé et, actuellement, nous finalisons des accords avec de grands groupes du tourisme pour développer des formules de voyage dédiées aux personnes à mobilité réduite.
J’ai un autre projet important, l’ascension du mont Blanc avec les pompiers de Paris, et d’autres personnes en chaise roulante, sous couvert de mon association. Nous partirons durant trois jours pour escalader cette montagne mythique.
De plus, j’avance sur la réalisation du portail Internet auquel je pense depuis longtemps, afin d’offrir un accès à l’information. Ce sont de gros budgets, cela prend donc beaucoup de temps, mais nous avançons bien.
Quels ont été les retours après la sortie de ton livre, « Ma vie à 200 à l’heure » ?
Les retours indirects, en fait, ont été les plus intéressants. De nombreux médias m’ont invité pour le livre et beaucoup de personnes m’ont contacté pour mes activités commerciales, donc évènementielles, autant que pour la fondation en me disant : « On vous a vu à la télé et on a lu votre livre, on a envie d’aider des gens comme vous. »
Penses-tu, avec ce livre, avoir incité de jeunes motards à être plus prudents ?
Souhaitons-le, Laurent. J’essaie toujours d’aider de jeunes accidentés. Cet après-midi, j’ai donné une conférence dans une école où mon livre a été choisi comme thématique de discussion. J’y suis donc allé pour discuter et faire de la prévention face aux bêtises que peuvent faire les plus jeunes, comme la vitesse, l’alcool et autres excès en tout genre.
J’espère que mon livre permettra à certains jeunes d’ouvrir les yeux sur les dangers de la vitesse et de la moto. Maintenant, je me focalise sur l’aide aux jeunes accidentés, qui sont souvent dans le flou sur ce que sera leur vie. Je tente donc, à mon humble niveau, de leur remonter un peu le moral en leur disant que, avec de la volonté, ils pourront réaliser de grandes choses.
Parle-nous de ton nouvel évènement lors du Festival de Cannes.
Le thème de l’an passé, « Ciné Arts », avait très bien fonctionné. Il s’agissait de mettre en avant toutes les formes d’art, peinture, sculpture, photographie, mode, chant et même joaillerie. Tous ces arts sont réunis le temps d’une soirée qui aura lieu cette année le vendredi 20 mai, toujours au Majestic, mais sous forme de dîner privé. Nous avons de très beaux partenaires, comme BMW.
Nous ferons venir à nouveau des artistes hors du commun, que l’on n’a pas l’habitude de voir, des Brésiliens, des Cubains, des Géorgiens, des Américains. Des gens du monde entier seront là pour représenter leur « art », sous toutes les formes.
Peut-on parler des célébrités qui seront présentes à la soirée ?
C’est encore un peu tôt, sachant que les films en compétition ont été dévoilés il y a seulement quelques jours. Nous sommes en train de réfléchir à la question, et ce doit être la même chose pour tous les organisateurs. Nous avons de belles pistes, mais je ne peux pas t’en dire plus pour l’instant, nous restons prudents, d’autant plus que le contexte géopolitique s’avère très particulier. Mais pas d’inquiétude, des personnalités il y en aura, et de belles !
Ton mot de la fin, Alexandre ?
Au risque de me répéter par rapport à l’année passée, cher Laurent (rires), c’est toujours un plaisir de vous accueillir, toi et Stars-media, lors de mes évènements.
Enfin, j’aimerais citer à tes lecteurs le slogan de mon association : « Rien n’est impossible à celui qui marche dans sa tête. » Quand je cite cette phrase, c’est bien évidemment à destination des personnes en fauteuil roulant. Mais au-delà, c’est également pour dire que la vie n’est facile pour personne et qu’il faut malgré tout s’accrocher, ne rien lâcher. Il vaut mieux voir le verre à moitié plein qu’à moitié vide.
Plus d’informations sur: galacinearts.com et fondationwaw.org
Cliquez ici pour commander “Ma vie à 200 à l’heure”, il vous sera livré par la poste et dédicacé par Alexandre.
Propos recueillis par Laurent Amar
