Bonjour Jean-Philippe Lustyk, pourquoi as-tu voulu devenir journaliste sportif ?
Bonjour Laurent, le sport est une passion. Tout gosse déjà, j’avais l’envie de devenir journaliste sportif afin de baigner complètement dans cet univers qui me plaît tant.
J’ai eu une grande opportunité, celle de pouvoir démarrer ma carrière à Canal + lors de la naissance de la chaîne. J’avais alors 22 ans et, au bout de 15 jours, je me retrouvais à l’antenne. Pourtant, je n’avais fait aucune école de journalisme et ma seule expérience “micro” avait été au Club Med. Je suis un vrai autodidacte avec juste en poche une licence d’histoire.
Quel est ton sport de prédilection ?
La boxe, que je connais très bien. Je produis et je commente des matches assez régulièrement. J’ai écrit des livres sur ce sujet. Le football et le rugby font aussi partie de mes passions.
J’aime aussi le tennis et le ski. Je suis vraiment ce que l’on peut appeler “un fou de sport” (rires), et ce, depuis ma plus tendre enfance.
Avant d’animer ton émission avec Malika Ménard, tu avais travaillé avec Sophie Thalmann. Tu es abonné aux Miss France apparemment ?
Mais j’ai une vraie love story avec les Miss France (rires) ! Il est vrai que Sophie Thalmann et moi avions présenté pendant trois ans “Les bêtisiers du sport” diffusés sur TF1 pendant la période de Noël.
Je retrouve maintenant Malika pour Paris le Club. J’aime beaucoup travailler avec des miss. Elles apportent une véritable fraîcheur à nos émissions, on forme à chaque fois une vraie équipe. Alors, effectivement, la coïncidence s’avère bien agréable (rires).
Y a-t-il un rapport de séduction qui s’installe lorsqu’on a la chance, comme toi, de travailler avec des femmes aussi jolies que les Miss France ?
Que les choses soient claires ! Le plus important n’est pas le physique des journalistes féminines, Miss France ou pas, mais leur capacité à faire un travail irréprochable pour que tout puisse fonctionner parfaitement.
C’est la condition indispensable à une bonne entente. Bien entendu, qu’elles soient jolies est une chose agréable, mais le principal est que l’on s’entende bien, afin d’avoir un réel plaisir à travailler ensemble. Le tout est de ne pas dépasser les limites. Mais pour répondre clairement à ta question, oui! il y a toujours un rapport de séduction.
Actuellement en Angleterre, il existe une polémique autour d’Anelka et de sa fameuse « quenelle », qu’as-tu envie de dire à ce sujet ?
Je pense bien évidemment que ce geste est inacceptable. Quand il dit que c’est un geste “anti-système”, c’est faux. Il s’agit d’un geste provocateur de la part d’un joueur provocateur qui a toujours choqué. On se souvient de ses écarts avec tous ses entraîneurs depuis presque dix ans. La fédération britannique lutte avec vigueur contre ces vilains gestes, ces comportements malsains, elle fait preuve d’un grand courage, beaucoup plus que la fédération française. Il est très important de ne rien laisser passer, car les joueurs du championnat anglais, le plus diffusé dans le monde, ont un impact absolument énorme sur les populations, notamment sur les plus jeunes.
Il faut donc être vigilant et ferme face au message que transmettent ces joueurs au public.
Quel serait ton mot de la fin pour les lecteurs de Stars-media ?
Continuez à nous regarder. Parlez de Paris le Club qui a besoin de votre soutien.
C’est une grande chance pour tous les fans du Paris Saint-Germain d’avoir une telle émission en clair et donc gratuite.
Propos recueillis par Laurent Amar
