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Siham, La star de “Ready for love”, dit tout à stars-media sur : Eva Longoria, Nabilla et la saison 4 de la Maison du Bluff sur NRJ 12.

Siham Bengoua-71
Siham

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Bonjour Siham, pourrais-tu te présenter à mes lecteurs qui ne te connaissent pas encore ?

Bonjour Laurent, bonjour à tous. Je m’appelle Siham, j’ai 26 ans, je suis issue d’une émission de téléréalité américaine Ready for Love produite par Eva Longoria. Je suis une jeune comédienne en devenir. J’écris des chansons, je fais du théâtre et j’ai même écrit une pièce, Fryer Mind, qui a connu un grand succès aux USA. C’est l’histoire d’une jeune musulmane qui tombe follement amoureuse d’un Italien chrétien durant les terribles attentats du 11 Septembre.

Quel bilan tires-tu de ton passage à “Ready for love” ?

Ce fut une expérience plutôt positive. J’ai pu faire de nombreuses rencontres à Hollywood et ce fut très gratifiant d’être la première Française à passer en début de soirée sur une célèbre chaîne de télévision américaine.

Tu ne t’es pas très bien entendue avec Eva Longoria, apparemment après avoir dévoilé qu’elle sortait avec l’un des “Bachelor”?

Selon moi, Eva Longoria n’a pas joué  son rôle de productrice. Neuf mois se sont écoulés entre le tournage des épisodes de Ready for Love et leur diffusion et, entre temps, elle s’était mise en couple avec l’un des “Bachelor”. Ce n’est pas très sérieux de la part d’une productrice de sortir avec l’un des candidats dans le show qu’elle produit. Cela fut nuisible à la crédibilité du programme. Je lui en veux beaucoup pour ça, car l’émission a dû être déprogrammée aux États-Unis. Cela m’a même obligée à rentrer en France, car tous mes projets avaient été abandonnés.
J’étais très fan de Desperate Housewives et en l’occurrence d’Eva, mais je me suis vite rendu compte qu’elle était une personne comme les autres, qu’elle pouvait parfois mal se comporter, notamment avec moi.

À tes yeux, existe-t-il des différences entre la téléréalité américaine et la téléréalité française ?

Oui, beaucoup, car aux États-Unis, il n’y a pas de barrière, les personnes issues de la téléréalité ont énormément de talent et peuvent aspirer à devenir de grands artistes et à réaliser de beaux projets. Cette facilité n’est malheureusement pas aussi évidente en France, car on a une très mauvaise image de ce genre télévisuel, alors qu’aux États-Unis, c’est le contraire. Je trouve cela vraiment dommage.

Tu as, il n’y a pas si longtemps, posté une photo peu flatteuse de Nabilla à 16 ans, pourquoi avoir fait cela ?

Ah ! Je ne pensais pas que tu allais me parler de cela (rires). Nabilla et moi étions amies depuis l’âge de 16 ans. C’est une fille que j’ai toujours beaucoup soutenue.
Mais voilà, depuis “Les Anges de la téléréalité 5”, elle a pris la grosse tête et n’est plus du tout la même.
Elle a écarté ses amis les plus proches. Je me souviens de son passage à Los Angeles, je l’ai tout de suite prise sous mon aile et lors du tournage de Hollywood Girls, je la coiffais, je l’emmenais dans les magasins. Mais je me suis rendu compte qu’elle avait un côté “arriviste”.

Siham et Laurent Amar
Siham et Laurent Amar

Elle se sert des gens qui peuvent l’aider, après, elle les jette.
Et j’ai été particulièrement déçue lorsque j’ai appris qu’elle m’avait mis des “bâtons dans les roues” afin de nuire à ma carrière d’artiste.
Dès lors, je n’ai plus eu aucune amitié pour elle et, lors d’une soirée, le concert de Drake, où elle m’a carrément ignorée, j’ai fait en sorte qu’on l’exclue du carré VIP où se trouvaient Rihanna et Drake. Ensuite, j’ai décidé de poster ce tweet vengeur où l’on voit Nabilla avec son vrai visage, sans maquillage (rires). Pour conclure, je dirai que je ne suis plus amie avec Nabilla et je ne veux plus jamais en entendre parler.

Que nous prépares-tu de beau en France ?

Le prochaine saison de “La Maison du bluff” sur NRJ 12 et animée par Alexis Laipsker qui a une particularité, puisque c’est la seule émission de téléréalité où tout le monde peut se qualifier. J’ai toujours été attirée et fascinée par le poker, j’avais envie de faire une téléréalité différente et PokerStars m’en a donné l’opportunité. Une émission centrée autour de ce jeu me convenait tout à fait. J’ai travaillé à fond sur le sujet pendant plus d’un mois en préparation du show, qui sera absolument passionnant, il ne faudra surtout pas rater cela (rires). La Maison du Bluff sera diffusée à partir du 15 mars sur NRJ12.

Peux-tu nous dire ton mot de la fin ?

Je suis une personne très fair-play et honnête. Contrairement à certaines que je ne nommerai pas, je n’écraserai jamais les gens pour arriver à mes fins. En revanche, je suis prête à tout faire, artistiquement parlant, pour atteindre mon but et côtoyer les sommets. Je veux mériter les choses, et j’aimerais citer Corneille en guise de conclusion : ” À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.”

Propos recueillis par Laurent Amar

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