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Interview de Lila Berdouk, présidente de Play Sorbonne U

A droite : Lila Berdouk

Bonjour Lila, pourriez vous vous présenter à mes lecteurs ?

Bonjour Laurent, je suis Lila Berdouk, étudiante en 3è année de licence de biologie et j’ai l’honneur d’être la présidente de Play Sorbonne U.
Je suis en charge de coordonner les diverses tâches de l’association, dont le Play Sorbonne U Festival.
En avril 2023, Max Han, l’ancien président, m’a passé le flambeau, qu’il tenait lui-même d’Alexandre Lucas, le fondateur de PSU.
Alexandre reste très engagé au sein de l’association et joue un rôle central dans l’organisation du festival.

Pourriez-vous nous décrire le concept Festival étudiant du jeu Play Sorbonne ?

Le but du PSU festival est de faire découvrir le jeu sous toutes ses formes au plus grand nombre.
Il y aura des jeux en libre accès, une exposition, des conférences et d’autres activités.
De nombreux créateurs indépendants de jeux de plateaux et de jeux vidéo viendront aussi présenter le résultat de leur travail !

Comme son nom l’indique, ce festival s’adresse-t-il en priorité aux étudiants passionnés par le jeu vidéo ?

Étant une association étudiante, c’est le public que nous ciblons.
Cependant, tout le monde est bienvenu, et il n’est pas nécessaire de s’y connaître dans le domaine des jeux pour apprécier ce que le festival aura à proposer !

Comment s’est fait le choix des différents intervenants qui prendront la parole durant ce festival ?

Nous souhaitions aborder le jeu de manière sérieuse, car c’est un sujet d’étude passionnant en relation avec de nombreux autres domaines.
Le bouche-à-oreille et le partage de contacts avec d’autres associations universitaires nous a permis d’identifier plusieurs chercheur.e.s et professionel.le.s actifs lié.e.s à différentes dimensions du jeu comme l’intelligence artificielle, les sciences humaines ou la monétisation.

Les gros éditeurs de jeux vidéo seront-ils présents lors de cet évènement ?

Non, ,l’objectif du festival est de faire découvrir de nouvelles choses aux gens et de donner de la visibilité aux créateurs indépendants. Nous ne sommes pas fermés à l’idée d’avoir de gros éditeurs à condition que cela n’altère pas l’essence du festival.
Le stand est gratuit pour les standistes comme pour les visiteurs, notre seule ligne éditoriale est « pas de pay to win ».

Comment évoluera le festival pour les prochaines éditions ?

Plus de jeux, plus de stands, sur plus d’espace, avec plus de visiteurs, toujours gratuit et sans pay to win !

Votre mot de la fin ?

Myrtille.

Plus d’informations sur : Play Sorbonne Université

Propos recueillis par Laurent Amar