Bonjour Nicola Frassanito, vous qui êtes entrepreneur, pourquoi avoir également choisi de devenir chanteur ?
Bonjour Laurent, c’est tout d’abord une question de hasard. Je dois préciser aux lecteurs de stars-media que je suis Italien, et les Italiens chante tous le temps (rires).
Et c’est mon cas ! je peux me mettre à chanter partout à tel pu point que les gens me prennent pour un fou.
Et si il y a des choses que j’aime par dessus tout, c’est me mettre en danger, en surprenant les gens pour leur faire plaisir. Le 25 Septembre 2011, lors d’une soirée de gala au Trianon ou j’ai invité des clients, j’ai décidé de me mettre à chanter, spécialement pour cette soirée, 15 chansons. Je dois avouer que j’ai adorer cela.
J’avais de plus fait les choses en grand en prenant comme metteur en scène Manon Savary, la fille de Jérôme. J’étais également accompagné par Gérard Daguerre musicien et pianiste.
J’avais envie par dessus tout de renouveler l’expérience.
Un ami médecin qui est également musicien a composé un certain nombre de chansons, il me les a présenté, je les ai adoré, et nous en avons fait un album.
Gérard Daguerre a fait les arrangements puis cela s’est concrétisé lors du show case le 3 Octobre dernier à Monaco dans l’opéra Garnier, auquel vous étiez présent cher Laurent.
Avez-vous participé à l’écriture des textes des différentes chansons de l’album ?
J’ai simplement écrit l’introduction de l’album qui est en réalité un texte s’appelant : Et pourquoi pas ?
Toutes les autres chansons, paroles et musiques, sont de mon ami Jean-Marc Piumi que je considère comme étant un artiste fabuleux.
Nous avons eu la chance d’avoir Gérard Daguerre qui s’est occupé des arrangements. Nous avons pu également, grâce à lui, bénéficier de très bon musiciens.
Que penses-vous de l’univers du show business en général ?
Lorsque l’on fait partie du show business, on a la chance d’être admiré voir adulé par le public et cela donne la responsabilité aux artistes d’être digne de cette admiration.
Ils sont des modèles pour leurs fans et à ce titre, ils doivent faire attention à leur actes et aux messages que ces actes diffusent.
Il faut savoir s’amuser, relativiser tout cela et ne pas en dépendre pour vivre heureux car même si le public procure une joie immense, le vrai bonheur pour un artiste ne dépend uniquement de cela.
Pour conclure cette interview cher Nicola, pourriez-vous nous dire votre mot de la fin ?
J’aimerai dire à vos lecteurs que dans la vie… il faut rêver les yeux ouverts ! car en faisant cela, on attire autour de soi les énergie cosmiques nécessaires à l’accomplissement de ses rêves.
Le plus important est de prendre beaucoup de plaisir dans ce que l’on fait afin de faire les choses bien. J’ai d’ailleurs un seul mol d’ordre : Faire bien, c’est respecter les autres !
Propos recueillis par Laurent Amar