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Massimo Gargia se dévoile à stars-media dans une interview vérité.

Massimo Gargia
Massimo Gargia

Bonjour Massimo Gargia, que représente la ville de Saint-Tropez à vos yeux ?

Bonjour Laurent, Saint-Tropez est de loin le lieu que je préfère. Il y a plusieurs vies à Saint-Tropez, vous pouvez vous promener à la campagne, faire du bateau, vous pouvez faire la fête toute la nuit, c’est pour cette raison que j’aime autant Saint-Tropez, on peut y faire plein de choses.

Pourquoi exposer en ce moment vos photos à la galerie Tropezienne de Julia Dyachenko “Alter Ego” ?

Je possède 1700 photos acquises pour la plupart lorsque j’étais propriétaire d’un magazine de mode et luxe qui s’appelait : “The best”. Je l’ai revendu depuis. Toutes ces photos achetées à des photographes professionnels, j’ai décidé aujourd’hui de les montrer au public.

Comment avez-vous sélectionné ces photos, le choix a dû être difficile ?

C’est vrai, le choix a été très difficile. D’autant plus qu’il y en a 1700 ! En vérité, j’ai fait ma sélection un peu au hasard. De plus, je ne voulais pas présenter de photos non encadrées, alors j’ai décidé de choisir 80 images représentant les plus grandes stars de la planète que j’ai eu l’occasion de croiser dans ma vie.

Vous avez été comédien dans un film Italien, pourquoi, plus jeune, ne pas avoir continué dans cette voie ?

J’ai tourné dans deux films en France et un film en Italie. En Italie, j’avais eu un rôle dans le film Sono un fenomeno paranormale du réalisateur Sergio Corbucci avec Alberto Sordi.
En France, j’ai tourné dans le film Milady avec Arielle Dombasle, puis dans un épisode de Sous le Soleil qui été diffusé un samedi soir sur TF1 à 18H00, à l’époque ou cette série était très populaire. Mais si je ne suis pas devenu acteur, c’est pour deux raisons.
La première est que j’avais commencé beaucoup trop tard. Dans les films que je viens de citer, je n’étais déjà plus un jeune premier.
La deuxième raison : j’avais essayé de devenir comédien étant plus jeune mais je me suis vite découragé, surtout lorsque j’avais fait des essais avec Luchino Visconti m’ayant affirmé que la caméra ne m’aimait pas.
Je n’ai pas persévéré et j’ai décidé de choisir la voie la plus simple pour moi, celle de la Jet-set.

Qui a été la femme de votre vie ?

La femme de ma vie aura bien sûr été celle avec laquelle je me suis marié, Francine Crescent, ancienne rédactrice en chef de Vogue France. J’ai vraiment été très amoureux d’elle.
L’autre femme à avoir beaucoup compté dans ma vie est Françoise Sagan. Au début entre Françoise et moi tout allait bien. Après Françoise est malheureusement tombée dans la drogue et du coup, elle ne voulait même plus sortir de chez elle. Je devais travailler et penser à ma carrière. Alors nous nous sommes séparés.

Laurent Amar et Massimo Gargia lors du festival de Cannes 2013.
Laurent Amar et Massimo Gargia lors du festival de Cannes 2013.

Vous avez consommé de la drogue ?

Oui surtout dans les années 80, à l’époque du Club 54 à New-York. La drogue est quelque chose de terrifiant. Vous avez deux jours de bonheur pour une semaine de malheur car les effets secondaire sont absolument terribles.

Qu’ont pensé vos parents de votre parcours dans la Jet-Set ?

Mon père était désespéré, mais j’ai été aidé par ma mère financièrement. A 20 ans, j’étais à la charge de ma famille, à 23 ans j’avais 7 maisons. J’ai eu énormément de succès.

Pourquoi avoir accepté d’être dans “la Ferme célébrité” ?

J’ai participé à cette émission de télé-réalité pour l’argent.
Il m’avait servi à l’époque à payer les soins de ma femme mais aussi à aidé au financement d’une fondation dédiée à la recherche sur la maladie de Parkinson.

Quel serait votre mot de la fin pour mes lecteurs ?

Je les remercie beaucoup de lire mes interviews et d’écouter ce que j’ai à dire. Si je suis devenu ce que je suis, c’est aussi grâce au grand public, et je lui serai éternellement reconnaissant.

Propos recueillis par Laurent Amar

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