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Interview : Sarah Marshall répond aux questions de Stars-media

Sarah Marshall by Laurence Laborie
Sarah Marshall by Laurence Laborie

Bonjour Sarah Marshall, la première question que j’ai envie de te poser est toute simple : comment vas-tu ?

Bonjour cher Laurent. Très bien, je suis très heureuse, car je travaille pour la maison Jitrois depuis de nombreuses années. Nous avons d’excellents rapports avec Monsieur Jean-Claude Jitrois. Je suis ambassadrice de la marque à travers le monde. Cela me permet de faire de beaux voyages, de belles rencontres et de m’ouvrir à d’autres horizons.

Tu es devenue maman, il me semble ?

Oui, cela fait déjà quelques temps. J’ai un petit garçon merveilleux qui travaille bien à l’école et qui va bientôt entrer au collège. J’en suis très fière.
Le rôle de maman m’épanouit tellement ! Cela m’aide à faire la part des choses entre le monde de la mode qui me demande de voyager énormément et mon fils qui, lui, est mon « pied-à-terre » (rires).

Tu étais présente au dernier Festival de Cannes, c’était pour le plaisir ou pour le travail ?

Pour le travail. Je suis d’abord venue avec Monsieur Jean-Claude Jitrois afin de faire l’ouverture du Palais des Festival pour le film Gatsby. Pour l’anecdote, j’ai d’ailleurs pu rencontrer Steven Spielberg grâce à son producteur depuis toujours, Frank Marshall, qui est aussi le cousin de mon père.
Steven Spielberg m’a même invitée à aller à Los Angeles pour les rencontrer à titre familial. Il était très étonné par mon parcours, semblait aussi ravi de me connaître. J’en ai été très heureuse (rires!!!)

J’étais également au Festival pour représenter la maison Jitrois, car nous avons une boutique à Cannes sur la Croisette. Nous avions habillé des comédiennes pour le Festival telles que Adriana Karembeu ou encore Frédérique Bel. Mon rôle était d’assurer les relations publiques de la marque auprès de ces actrices et également de promouvoir la maison Mont Blanc pour la joaillerie.

En tant que comédienne, j’avais aussi un court métrage à présenter, celui de Touria Benzari qui s’appelle Rock n’bled. L’équipe du film était composée, mis à part moi, de Julie Gayet, Salim Kechiouche, Anas El Baz, Stany Coppet et enfin Sofiia Manousha, nommée aux César comme jeune espoir.
Il s’agit au départ d’un triptyque sur les mariages arrangés.
Babel love, le troisième épisode, sera tourné au mois d’octobre au Maroc et nous aurons le célèbre comédien Charles Berling en guest. Je suis très fière de pouvoir jouer avec un acteur de cette qualité.

Sarah Marshall by Stéphane Cardinale

Tu es donc top model professionnel, égérie de Monsieur Jean-Claude Jitrois, puis comédienne. Quelles sont les autres cordes à ton arc ?

Je suis actrice et, bien sûr, maman (rires). Être ambassadrice de Jitrois, ce n’est pas seulement être top model. C’est aussi représenter la marque à travers le monde. J’ai pour devise : “Pourquoi retarder l’inévitable ? j’aime quand cela dure longtemps, la mode traverse le mannequin, elle tourne”. Et c’est bien cela qui est merveilleux avec Jean-Claude Jitrois, car il partage ma façon de penser. D’où sa confiance pour toutes les tâches suivantes :
Veiller sur la chaîne de fabrication – Regarder ce qu’il se passe au studio – Passer régulièrement à la boutique pour être en contact avec les clients afin de connaître leurs envies.
Bien sûr, je suis habillée par la maison, mais il est aussi grisant de se dire que ce modèle-ci serait bien pour telle ou telle autre comédienne, cliente de la marque.

Grâce à notre travail, la maison est maintenant bien établie. Et surtout, elle est entrée à la chambre syndicale de la haute couture.
Je fais de la gymnastique une heure et demie par jour. Le sport est mon plaisir. Mon seul luxe, c’est le repos.
Cela fait partie de notre emploi du temps, car Monsieur Jean-Claude Jitrois estime qu’il faut bien entretenir son corps… et c’est valable pour tous nos collaborateurs.

 Tu n’en as pas marre que l’on te demande, “tu es bien la petite-fille de Michèle Morgan ” ?

Au contraire !!! (rires) Tant qu’on me rappelle qu’une si grande star est ma grand-mère, cela me fait du bien et me motive pour atteindre l’excellence dans tous mes domaines d’activités.
C’est pour moi un bel exemple que je m’efforce de suivre. Ma grand-mère, Monsieur Jean-Claude Jitrois et mon petit garçon sont mes références et mes raisons de vivre.

Comment as-tu réussi à surmonter certaines épreuves vécues étant plus jeune ?

Cela a finalement été très facile. Entourée de ma famille, de mes amis et des êtres chers à mon cœur, dont nous venons de parler, j’ai suivi ma route. J’ai tracé mon chemin et finalement tout est rentré dans l’ordre.
Pour moi seul, l’avenir comptait. Cela m’a permis de reprendre confiance en moi et de me sentir bien dans mon corps. Le sport m’a également beaucoup aidé.
Mes activités caritatives sont aussi très importantes pour moi.
Cela me permet de relativiser les problèmes bourgeois d’une enfant du 16 ème, gâtée trop jeune. Surtout quand des gens souffrent de para ou de tétra-plégie.
Nous étions d’ailleurs à Cannes, à la soirée TRY ME.  Je représentais l’association “Prendre un enfant par la main” avec un ami engagé et dans lequel je me retrouve : Satya Oblette.
Et puis j’ai pu faire ta connaissance cher Laurent (rires).

Quels sont tes projets, où va-t-on pouvoir te retrouver ?

À la rentrée, comme je te l’ai dit, nous tournerons le troisième volet de Babel love, mais je ne peux pas t’en dire plus pour l’instant.

Quel serait ton mot de la fin pour nos lecteurs ?

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